Le coup de la panne informatique…
Ara 10, 2021 // By:admin // No Comment
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Le coup de la panne informatique…Le net n’est que le reflet de la vie réelle, il nous apporte son lot de surprises et de découvertes mais en abolissant les distances et la barrière de la pudeur. Il y a plus d’une vingtaine d’années, au début de ce que l’on appelait la « toile », j’avais l’habitude de passer de longues heures sur des sites spécialisés en informatiques. L’optimisation des réglages et les dépannages étaient mon jeu favori. Un de mes forums fétiches était spécialisé dans le système d’exploitation d’une célèbre marque à la pomme. On y échangeait des petits trucs et on n’y aidait aussi les débutants. On y sympathisait et on s’y retrouvait souvent entre passionnés. A cette époque, j’étais seul dans la vie et une partie de mes nuits se passaient ainsi. Je devenais un « no life ». Et pour compléter le tableau lorsque j’avais des envies, je surfais sur des sites beaucoup plus chauds, afin de les assouvir. Puis je revenais dans mon monde de branchouille. Ma vie n’était donc plus que virtuelle. Rien de passionnant à part peut-être pour un psy…Et pourtant, c’est sur mon site favori très sérieux, dissertant du système de la compagnie fruitière, que j’ai pourtant fait une des rencontres les plus bouleversante de ma vie.Un soir, comme souvent, un nouveau venu (je saurais plus tard que c’était une nouvelle venue car les pseudos et les profils sont asexués et non explicites sur ce genre de site) pose une question basique. Je m’empresse d’y répondre en premier et le problème est réglé en quelques minutes. Mais d’autres petites choses ont été mal configurées sur sa machine et il faut encore modifier d’autres réglages. Le site n’offrant qu’une lente interface de messagerie, on passe sur un logiciel de tchat, pour faciliter les échanges, mais on reste juste bien sûr à l’écrit pas de cam ou de micro. Après une petite demi-heure et quelques mises à jour tout roule. Il est tard mais je n’ai pas sommeil et mon interlocuteur non plus… et le dialogue devient moins technique. On parle de choses et d’autres. D’abord j’apprend que c’est une femme. Elle s’occupe de sa machine familiale. Elle a des enfants et c’est d’ailleurs pour que certains jeux fonctionnent qu’elle est venue sur ce forum. On a parlé de tout et de rien, de littérature, de musique, de cinéma, et on a sympathisé ainsi jusqu’à très tard, mais en tout bien tout honneur, comme avec une vieille amie. Ca faisait bizarre, j’avais un monde cloisonné jusque la, et je me retrouvais ainsi avec un vrai sentiment chaleureux de complicité qui m’habitait, loin du monde froid des machines et des geeks.Curieusement cette nuit la j’ai rêvé d’elle alors que je ne savais strictement rien de son physique, je lui donnais mille visages et chevelures, floues et merveilleuses. C’était un visage d’ange fugace dans un brouillard à la David Hamilton, très tendance à l’époque. Le lendemain c’était un dimanche, j’ai tenté de la retrouver mais elle n’était pas connectée. J’ai failli lui laisser un message mais je me suis ravisé de peur d’être un peu lourd… Ce jour la, j’ai pratiquement délaissés mes sites fétiches, je m’accrochais à msn et à cette icône « déconnecté ». J’étais fou, tel un bourdon qui se cogne mille fois à la vitre d’une fenêtre désespérément fermée…. Excité virtuellement et cela simplement par une femme inconnue vivant à plus de 500 km de chez moi (c’est tout ce que je savais d’elle..) C’est le lundi après-midi, et alors que j’étais occupé et que je commençais à sortir de mon rêve éveillé, que cette maudite icône est passée au vert… Et tout est reparti dans ma tête, plus rien ne comptait. J’ai fini par craquer et sous un stupide prétexte de détail informatique, je l’ai recontactée… Manifestement elle a saisi la balle au rebond et on a tchatté un bon moment. On a du se quitter car elle avait ses enfants à récupérer à l’école. Mais cette fois un rendez-vous était pris le soir même.Autant dire que le reste de l’après-midi et le début de soirée m’on paru une éternité. Quand l’heure est arrivée j’étais presque tremblant comme lors d’un premier rendez-vous. Elle m’avouera plus tard avoir fait n’importe quoi toute sultanbeyli escort la soirée, devoirs des enfants bâclés, repas brûlé et failli avoir un accrochage en voiture.. Cette fois le dialogue fut long et intense son mari et ses enfants dormaient, et elle se sentait libre. On vibrait aux mêmes choses, on riait, blaguait et surtout on était fou comme des ados lors d’un premier rendez-vous. Tout cela sans se voir, sans se parler et juste en tchat. Et plus fort encore, pour un habitué des sites et forums chaud comme moi, sans jamais parler de sexe ! Ensuite après cette longue première nuit, d’autres ont suivies, ou on se disait tout, se confiait comme des amis intimes de toujours. L’anonymat du net est un violent catalyseur de sentiment et un casseur de barrière et de tabou. Finalement, on a parlé de nos envies. Je lui ai tout avoué sur ma misère sexuelle de l’époque et de mes plaisirs solitaires face au clavier. Après avoir écrit cela, je pensais la voir fuir et couper les ponts. Mais non, rien de cela. Elle m’a avoué être contrairement à moi, fidèle et croyante pratiquante. Pour elle tromper son mari réellement et même virtuellement par la pensée était un péché. Puis sans que je lui demande quoi que ce soit, elle m’avoua avoir des pensées à mon égard qu’elle réprimait. Elle se mit elle aussi à se dévoiler plus encore. J’appris qu’elle ne faisait pas souvent l’amour avec son mari débordé et de plus en plus distant. Ils en était à une ou 2 fois par mois et qu’elle n’avait pas connu vraiment d’orgasme depuis fort longtemps. Elle n’employait pas ce mot évidemment, mais parlait de manière plus « catholique »… Elle alla jusqu’à me confier qu’elle ne se caressait jamais de par son éducation et ses croyances religieuses. Toutes ces confidences qu’elle n’avait faites à personne jusque-là, me mettait, moi le voyeur du net, habitué aux vidéos amateurs les plus chaudes, dans un état d’excitation absolu. Je venais de pénétrer, par hasard, et en premier, dans les secrets d’une pyramide de pudeur. Peut-être un peu par bête provocation, je lui ai avoué l’état dans lequel ses révélations me mettait. Et la, plutôt que de me conseiller de changer de mode vie, de sortir, d’aller vers les autres de retrouver une compagne. Et surtout d’arrêter ces perversions « contre nature ». Elle me rétorqua : -Tu fais comment quand ca te prend, la, devant ton ordi ? Raconte-moi ?Un peu décontenancer par la demande mais heureux de la provoquer et peut-être de la faire rougir. Je lui racontai alors mes pérégrinations sur le net et les récits, les photos et les vidéos amateurs que j’aimai consulter. Lui donnant, à sa demande, quelques liens vers ce monde inconnu pour elle.Elle a fini par m’avouer finalement avoir parfois, avant d’être mariée, eu des soirées « contre nature », ou elle se caressait en lisant des romans érotiques prêtés par une amie. Moi j’en pouvais plus, face à ce jeu de la none qui se dévoile. C’est du mauvais X, mais c’était terriblement troublant. On croirait une fellation avec un glaçon… Je me suis mis à me toucher en direct, sans même avoir une photo d’elle, juste en lisant ses tchats et quelques ses révélations très banales pour un habitué comme je l’étais.Par provocation toujours, je lui ai avoué ce que je faisais, elle m’a demandé de décrire mes gestes. C’était complétement stupide car en dehors d’un va et vient frénétique et quelques caresses je ne faisais rien de spécial. C’est alors que la bonne mère de famille dévote s’est lâchée…-je viens de relever ma jupe, ma main passe et repasse sur ma culotte. Je n’ose pas… mais-Baisse la !-T’es fou mais j’en peux plus …-Tu mouilles ?-Je suis trempée, j’ai enlevé ma culotte pour toi et je me caresse.. et toi-Je me branle toujours je suis hyper dur.-Je m’écrase le haut de mon sexe avec ma main gauche elle est toute gluante-Tu as envie d’un homme ?-OUIIII-Mets toi un doigt dedans-J’ai jamais fait … j’aime pas trop-Vas y pense que c’est moi-Humm t’es fou… mais j’adore-Mets en deux-T’es fou… hummm-T’en ai ou … moi je suis très près de la fin-Vas y et dis moi…-Mets en un dans le çekmeköy escort cul-Non pas ca je déteste-Vas y …-Non !!!J’étais allé trop loin… Je cherchais toujours l’excès, bêtement habitué aux X classique.-Mets trois doigts dans ta chatte et bouge les bien alors à fond.-T’es fou… hummm je viens…-Moi aussi-Hhhhh-Okk-Je …-. ;-J’ai tout lâché il y en a partout même sur le clavier.. lol-Moi je suis trempée et j’ai poussé un cri j’espère que j’ai réveillé personne ici..On s’est quitté juste après rapidement. D’habitude je prévoyais des kleenex et je faisais gaffe à mon cher matériel. Mais la avec elle, je ne pensais pas.. et j’avais joui sans retenu partout comme un puceau qui se branle pour la première fois.Les soirs qui suivirent, furent identiques, on parlait longuement de tout sauf de sexe, puis on se chauffait et hop c’était parti. Au bout de quelques jours, elle m’avoua qu’elle était torturée, elle ne voulait plus tromper son mari, elle s’en voulait. Il avait tenté la veille de l’enlacer et elle l’avait repoussé. Puis elle avait fini par céder et il avait eu un rapport c’était encore pire que d’habitude avec lui, elle mouillait pas du tout et il avait eu un mal fou à la pénétrer. Une chance m’a-t-elle dit il s’était privé depuis longtemps, donc ca ne dura pas, il a éjaculé presque tout de suite. Elle se sentait souillée mais aussi coupable de le tromper.Les jours qui suivirent furent bizarre, j’ai failli plus d’une fois la perdre, elle voulait ne plus me voir, elle pensait supprimer son compte Msn pour couper notre lien. Puis elle revenait en ligne et ca repartait. On était dans une passion dévorante exacerbée par la distance et l’interdit pour elle. Je lui est d’ailleurs conseillé et comme l’on parlait souvent de littérature durant cette période de relire « le rouge et le noir ».. Bon ce n’était peut-être pas le moyen de lui remonter le moral… surtout avec la fin.Finalement je voulais la posséder et la guider vers mon monde débauche, mais elle ne voulait pas quitter sa vie rangée. Je finis par lui proposer, puisqu’elle refusait de le tromper, de prendre du plaisir avec lui, et plus de faire la « poupée gonflable » sous lui. Par contre, il était nul au lit depuis toujours, et vue ce qu’elle racontait ce n’était pas gagné… Je commençais par lui conseiller de l’exciter de le caresser même les jours ou il rentre fatigué… Ce fut très dur à admettre mais elle accepta. Je jouais à nouveau mon pygmalion pervers la guidant vers le plaisir. Et petit à petit j’arrivai à le rendre plus réceptif et elle plus langoureuse avec lui. Les rapports se passaient mieux et le lendemain elle me racontait ce qu’elle avait fait tout en se touchant en direct sans retenue. Je donnais mes nouvelles consignes et elle progressait. Elle se dévergondait et avait même fini par le sucer, il était fou car il n’avait jamais osé le demander (toujours son éducation). Elle était devenu ma chose, il était devenu mon avatar dans le monde réel, j’étais complétement fou… Un vrai pervers diabolique qui joue à un jeu virtuel avec de vrais personnages. J’avais découvert un concept !!!Ils étaient passés de 2 rapports maxi par mois à 3 ou 4 par semaines. Et j’adorais ca… Elle achetait des dessous sexy et même quelque fois se promenait en jupe sans culotte à la maison. Mais elle restait inflexible sur le fait d’avaler le sperme et sur la sodomie. J’avais juste réussi 1 ou 2 fois à lui faire faire le marché sans culotte mais ca a été le maximum possible. Les semaines passaient cela faisait maintenant presque 6 mois que l’on conversait et se donnait du plaisir l’un en face de l’autre virtuellement. Elle n’avait plus de remord, avait l’impression que tout était bien à sa place … Belle évolution des mœurs. Pour ma part le jeu finissais parfois par me lasser, l’envie d’aller toujours plus loin me titillait et surtout un peu la jalousie vis à vis de ce double réel qui lui profitait vraiment et innocemment. J’étais l’amant cocu par le mari sans qu’il le sache !!!J’eus alors un voyage professionnel de prévu dans sa région. Je lui en ai parlé évidemment.. Elle l’a accueilli dudullu escort de manière glaciale. J’étais médusé. Je souhaitais juste une rencontre en tout bien tout honneur. Même si évidemment secrètement j’espérais beaucoup plus. Deux jours avant ce voyage la situation devint tendue, on vivait notre première grosse crise en 6 mois d’amour fou.. enfin virtuel. Mais je tenais bon je voulais la voir même de loin même fugacement … La veille de mon départ alors que dans l’après-midi on s’était encore disputé, je reçus un mail. Mon amour Oui mon amour !! je ne t’ai jamais appelé ainsi et ce sera la dernière fois. Depuis 6 mois je suis amoureuse de toi, sans te le dire et sans me l’avouer. Je prends plus de plaisir dans tes bras virtuels que jamais dans ma vie, j’en avais rêvé. Lorsque je fais l’amour avec mon mari, c’est à toi que je pense et si je jouis c’est de toi. Je ne me sens même plus coupable, ce qui prouve mon envoutement et ma déraison quand je suis avec toi.J’ai trois beaux enfants, une belle maison, une famille aimante. Je n’ai pas le courage de tout détruire pour cette folie qui m’habite. Bien sur, tu ne me demandes pas de quitter tout cela, juste espères tu me voir. J’aimerai en faire de même, mais je sais que je ne serai pas sage, je ne l’ai jamais été avec toi. On fera une folie ou pire encore on ne se plaira pas (mais je suis sur du contraire..) quoi qu’il en soit, on sera malheureux après… et je ne veux garder que le bonheur de ce joli rêve et ne pas finir dans le grisâtre du réel. Je veux que tu restes le prince charmant de mes nuits de gamine. Je resterai dans ta pensée le fantasme de ta petite ingénue gourde et maladroite, quand tu surferas sur tes sites que je n’ose à peine regarder.Je vais couper ce lien qui nous relie, abandonner notre lit virtuel. Tu ne pourras pas me retrouver. Tous les pseudos que tu connais, ne seront plus utilisés. Inutile de m’écrire ou de répondre à ce mail je ne viendrai plus le lire… Car je ne veux plus rechuter, avec toi dans l’adultère.Je pleure maintenant et je sais que je vais souvent pleurer en pensant à toi. Je vais m’éloigner de ces maudits ordinateurs pour un long moment. Tu m’avais conseillé « le rouge et le noir », je vais le relire en pleurant et je serai ta Mathilde. Par la suite je pense replonger dans Zola « le rêve »….et je te le conseille ca sera, si tu le veux bien notre dernier livre commun.Un ultime tendre baiser de ta Mathilde, avant que je ne tranche … le fil qui nous relis presque plus déjà.AgnèsJ’ai bien sur répondu en y mettant tout mon cœur en appelant Brel à la rescousse…Ne me quitte pas, j’apprendrai ma leçon, je serais ton ombre, l’ombre de ton ombre, l’ombre de ton chien…etc..J’avouais que le rendez-vous était une folie que je me contenterai maintenant du tchat. Mais m’a t elle lu ? Je ne saurai jamais. Une chose est sur ses pseudos n’ont jamais réapparus nul par. J’ai cru la croiser mille fois dans la rue, surtout en allant dans sa région. Je connaissais un peu la description de ses vêtements et de ses cheveux. Beaucoup de mères de famille avec leurs 3 enfants on du se demander pourquoi un obsédé ne cessait de les regarder…Enfin j’ai noyé mon chagrin sur les sites hot comme elle le prévoyait. J’ai tenté aussi de retrouver les mêmes sensations de tchat chaud sur tchatroulette avec des « pseudos femmes » que je voulais bien croire comme telle. J’ai aidé aussi encore des anonymes sur les sites de geek. Mais rien, plus rien n’avait de goût d’Agnès.Et… le temps a passé, j’ai retrouvé une passion bien réelle en chair et en os qui me comble parfaitement. Mais certains soirs les envies du fantôme d’Agnès me chatouille et je rêve de retrouver cette complicité. J’en ai même parlé à ma douce qui en rit et qui n’est pas jalouse de ce passé. Pour elle le virtuel c’est comme un film, on n’aime pas vraiment car on ne meurt pas vraiment. Mais cette sensation m’habite. Je voudrais juste une fois, juste un soir, croiser une belle folle en déséquilibre sur le fil de la vie qui me ferait encore jouer à ce jeu virtuel. Si je croise cette ombre, je promets de ne plus jamais allumer la lumière et de me contenter d’un tchat dans le noir. Cette histoire est totalement vraie est en faite une bouteille à la mer déguisée. Agnès si tu lis cela, et tu en es capable, sache que beaucoup d’électrons ont coulés dans les câbles, mais que je pense toujours tendrement à ma petite ingénue.
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